Vaincre la variance
Ce jour fût surtout mené par la variance que tout joueur de poker redoute comme la peste. J'en ai vu de toutes les couleurs... Des runners runners, des quintes ou encore des rivières magique,...
J'ai bien failli penser que plus rien n'allait fonctionner jusqu'au moment où la variance décida enfin de changer de camp et de me rejoindre dans ma quête du Graal...
En effet, un joli bad beat infligé (80% de chance de gagner le coup pour le vilain, 20% pour moi) me permit d'inverser la tendance et me relancer dans ce qui aurait dû être mon ultime sit and go de la journée.
Fort de cette expérience, je relancerai un dernier sit and go que je remporterai également. Comme quoi, tout vient à point à qui sait attendre...
Même si c'est ce qu'il y a de plus difficile à accepter au poker, il faut "vivre avec" ou tout simplement ne plus jouer, car même si on développe le meilleur jeu à la table, celui qui nous rendra victorieux sur le long terme, ce n'est pas pour cette raison qu'on en sortira vainqueur à la fin.
En effet, comme dans tout les jeux de cartes, la chance est présente à travers les statistiques.
Je vous invite à titre d'exemple exceptionnel de regarder cette vidéo où, lorsque l'on abat le flop, le futur gagnant du coup avait exactement 0.3% de chance de gagner le coup et 0.5% de chance de partager le coup.
Je n'aimerais pas être dans la peau du malheureux perdant à ce moment là...
Juste en-dessous, une autre vidéo où la distribution initiale est assez exceptionnel puisque 5 des 6 joueurs à table reçoivent chacun une paire servie. (Si je ne me trompe pas, la probabilité qu'un tel évènement arrive est de 7.77 x 10-5%.
C'est parfois dur le poker, et pourtant... C'est ce qui fait également la beauté de ce jeu !
Que rien ne soit déjà plié à l'avance !
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